PRIX NOBEL 1992
LAMAP
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DARI
EMSE
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GARDANNE
CNRS
NOBEL FRANCE
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"La validation subjective fait percevoir comme reliés deux événements qui ne le sont pas et cela simplement parce qu’une envie, une hypothèse ou une croyance demande ou nécessite une telle relation, en l’occurrence simplement parce que l’horoscope l’annonce. Ce qui induit un comportement superstitieux, un comportement fondé sur la conviction que ses propres actions déterminent le cours des événements même s’il n’en est rien dans la réalité." Devenez sorciers, devenez savants
1924-ne en Pologne
Arrivé en France à l'âge de sept ans, il sera naturalisé en 1946. Elève en classe préparatoire à Paris pendant l'Occupation, il passe le concours d'entrée à l'Ecole nationale supérieure des mines mais il est arrêté peu après pour faits de Résistance. A son retour de déportation, il intègre enfin l'Ecole des mines. Brillant étudiant, il entre dès 1948 au CNRS. Il rejoint ensuite le Collège de France et se spécialise en physique expérimentale.
Ingénieur de l'École des mines de Paris, il s'oriente vers la recherche en entrant en 1948 au Centre national de la recherche scientifique (CNRS). Parallèlement, il travaille au Collège de France (1948-1955), auprès de Frédéric Joliot. En 1959, il rejoint à Genève le CERN (aujourd'hui Laboratoire européen de physique des particules). C'est là qu'il conçoit de nouveaux types de détecteurs de particules, dont la chambre proportionnelle multifils ou "chambre de Charpak" (1968) qui permet de reconstituer en temps réel la trajectoire d'une particule élémentaire. La rapidité, la fiabilité et la capacité de traitement des "chambres de Charpak" ont permis d'étudier des événements très rares produits lors des interactions entre particules de grande énergie. Depuis 1980, Georges Charpak étudie l'application de ses appareils en biologie et en médecine, en particulier dans le domaine de l'imagerie médicale. Titulaire de la chaire Joliot-Curie à l'École supérieure de physique et de chimie industrielles de Paris depuis 1984, Georges Charpak est entré à l'Académie des sciences en 1985 et a obtenu le prix Nobel de physique en 1992.
isimabomba
Georges Charpak est plus connu du grand public pour son implication en faveur de l'enseignement des sciences à l'école primaire. Son programme, "La main à la pâte", qui connaît un grand succès en France, propose de combiner l'enseignement scientifique théorique avec des expériences pratiquées par les enfants eux-mêmes.
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6 commentaires:
LE QUANTIQUE DES QUANTIQUES
LE VIDE
Même sans atome, l’espace contient toujours « quelque chose ». Le néant absolu n’est pas de ce monde. Le vide est plein d’énergie, de champs et de particules à « l’état virtuel ». Le vide joue un rôle clé en physique. Pour le théoricien, le monde physique peut s’expliquer par 4 forces fondamentales.
1) La force de gravitation.
2) La force électromagnétique.
3) La force nucléaire faible.
4) La force nucléaire forte
Dualité onde - particule : On ne peut pas voir un visage à la fois de face et de profil – De même en mécanique quantique, ondes et particules sont les deux « faces » sous lesquelles apparaissent les objets quantiques. Ainsi la lumière visible peut se manifester sous l’aspect d’une onde ou celle d’une particule : le photon. De même un électron matériel peut adopter le comportement d’une onde. Si un objet quantique était un cylindre on pourrait le voir par exemple, soit comme un cercle soit comme un rectangle selon l’angle de vision.
En mécanique classique on distingue deux types d’objets : Les particules d’une part et les ondes d’autre part ; La mécanique classique n’admet qu’une seule catégorie d’objet ayant tantôt un comportement « corpusculaire » tantôt « ondulatoire ».
« fonction d’onde » qui détermine la probabilité de leur présence en un lieu à un instant donné.
Le vide absolu n’existe pas dans notre monde. Voilà un résultat de la physique quantique. Le vide est plein d’énergie et de particules à l’état « virtuel ». C’est un vide « plein » , un faux vide ; Le vide peut être perçu comme une « mer » de particules virtuelles porteuses de toutes les interactions entre particules.
Ce serait par la fluctuation de ce vide non vide qui aurait dicté à l’univers son espace-temps propre, ses lois, sa physique et la façon dont s’est brisée l’unité originelle pour engendrer les 4 forces et les particules que nous connaissons. Au départ, les quatre interactions étaient unifiées et la symétrie parfaite. L’univers a dû se refroidir et les symétries se « briser » pour qu’apparaissent les 4 interactions (forces) connues.
La théorie actuelle explique que la gravitation due à la concentration de la matière et qui tend à courber l’espace-temps, s’oppose à l’expansion. L’élément décisif est la densité de l’univers . Si elle est élevée, alors l’espace- temps se courbe , la gravitation l’emporte et l’univers se contracte ; inversement, si l’univers est très peu dense alors cet univers est en expansion.
Il n’existe aujourd’hui, aucune théorie capable de marier les effets quantiques et gravitationnels. La relativité générale, qui décrit la gravitation et l’univers à grande échelle, et la physique quantique qui règne dans le monde microscopique, semblent totalement incompatibles. Et pourtant l’univers est issu de ce faux vide quantique avant d’être régi par la mécanique générale.
Le vide est l’état latent de la réalité et la matière son état manifeste.
Il y eut « brisure » du vide dans la lumière (photons) et de la lumière à la matière : Vide- Lumière- Matière.
Auparavant, les physiciens pensaient que le monde était divisé en matière et énergie ; la matière résidait dans les particules et l’énergie dans les champs, qui en interaction avec ces particules provoquent le mouvement. Selon la théorie quantique, l’intensité d’un champ en un point est interprétée comme une probabilité statistique d’y découvrir les « quantons » associés : les particules ; c’est à dire la matière.
Le physicien danois, comme ils disent, David Niels Bohr expliquait que la « matière » est liée au « champ » comme « l’écume » est liée à la « mer » . L’écume est la limite de la mer, comme la matière l’extrémité du champ.
La physique quantique échappe au sens commun. Qui veut y pénétrer doit abandonner toute logique et toute intuition familière.
Car les particules n’ont pas de trajectoire, se trouvent simultanément en plusieurs endroits différents.
Et pourtant la physique classique découle de l’univers quantique. Dans les dernières années certaines expériences essayent d’expliquer le passage du quantique au classique, c’est la Décohérence :
La physique quantique ne connaît ni onde ni particule, mais une seule catégorie « d’objets » qui possèdent certaines propriétés des ondes et d’autres des particules. Ces objets quantiques sont impossibles à imaginer visuellement. Une bonne partie de ces bizarreries quantiques trouve son originalité dans le « principe de superposition ». Les d’un atome ou de tout autre système quantique constitue ce que l’on appelle son « état ». Quand un système a plusieurs états possibles, la somme de ces états est également un état possible. C’est grâce à ce principe essentiel qu’une particule peut occuper plusieurs positions possibles à la fois. Tant qu’on reste dans le domaine quantique, tout va bien.
La difficulté commence lorsqu’on passe dans l’autre monde, c’est à dire le nôtre, le monde macroscopique. Car la superposition des états est impensable dans notre univers classique. Nul n’a jamais vu un objet simultanément dans deux endroits différents. Dès que l’on voudra mesurer l’énergie d’un atome, on ne détectera jamais cette superposition, mais seulement l’une des énergies qui la constituent.
L’action de mesurer fait disparaître la superposition des états, au profit d’un seul. Cette réduction des paquets d’ondes est due à l’interaction du système quantique avec son environnement (ici l’appareil de mesure). Les multiples interactions avec l’environnement entraînent une destruction très rapide des interférences quantiques du système. En détruisant les interférences, l’environnement expérimental supprime les « superpositions d’états » et le comportement quantique du système, de sorte qu’il ne reste plus que des états simples et qu’on retrouve alors le comportement classique de la particule. Ce phénomène a été nommé « décohérence » car c’est la destruction de la cohérence des états quantiques qui élimine les interférences.
Une comparaison : Des vagues sur la mer. La présence d’un très long bateau (plusieurs km) détruit le système des vagues (interférence des ondes) – par comparaison la présence de l’appareillage d’observation ne permet pas de voir le phénomène quantique en évolution mais seulement son résultat. Pour que l’on puisse analyser ces vagues, il faudrait réduire l’appareillage à une caméra fixé un bouchon de liège et
qui subirait elle même les flux et reflux des vagues ainsi que leurs interférences.
Le vide sera pour nous le trait- d’union entre la physique et la métaphysique.
la physique quantique nous apprend que les lois inherantes a la physique classique n’ont pas cours dans le domaine de la microphysique.il n’y a plus de relation cause a effet ; c’est le hasard qui regne. c’est par hasard que cet atome d’uranium se scinde et non un tel autre. un sujet de philosophie pourrait etre ‘’le hasard est le mesure de notre ignorance.
Dans sa vieillesse, le philosophe Aristote envoya la lettre suivante à son disciple Alexandre le grand :
Béni est celui qui dessille les yeux des aveugles et montre aux pécheurs le chemin de la vérité. Qu’il soit loué comme il faut car je ne sais comment L’exalter pour la grande bonté et la miséricorde qu’Il m’a témoignées. Je Lui suis éternellement reconnaissant de m’avoir libéré des sottises auxquelles j’ai voué mon existence.
Toute ma vie, je me suis plongé dans la philosophie pour expliquer tous les phénomènes naturels de façon logique. J’ai consacré de nombreux ouvrages à ces sujets. Enfin, au crépuscule de ma vie, j’ai eu l’occasion d’entrer en conversation avec un sage juif. Il ne m’a pas fallu longtemps pour reconnaître sa grande sagesse. Il m’a fait comprendre l grandeur de la Thora donnée au Mont Sinaï.
Il m’a enseigné la profondeur de la Thora et m’a éclairé de nombreuses idées fondées sur ses enseignements. Je me suis rendu compte à quel point j’avais été sot de ne pas avoir compris que D’ peut manipuler les lois de la nature et qu’une grande partie de ce qui se produit dans le monde est dirigé par Lui.
Quoique la nature existe, D’ est le Maître de l’univers et Il dirige toutes choses comme Il le juge bon. Je dis ouvertement à tous de ne pas perdre de temps à lire mes livres, de ne pas les regarder ou même les toucher. C’est une faute que de gâcher son temps sur les fausses théories que j’ai embrassées.
Je t’adresse, Alexandre de Macédoine, grand empereur et gouverneur, des salutations de paix.
Ton maître
Aristote.
L’Histoire juive nous enseigne qu’effectivement Aristote rencontra à la fin de sa vie CHIMONE HATSADIK qui était COHEN GADOL ; suite à quoi il abandonna complètement ce qu’il avait appris et ce qu’il avait enseigné.
Aristote était une étincelle d'Avtaliyone qui avait enseigné des élèves qui n'étaient pas conformes et qui sont devenus des tsedokim
(qui renient entre autre le monde futur). A la fin de sa vie Aristote rencontra CHIMON HATSADIK qui était à l'époque Cohen Gadol et il fit techouva et se convertit. Aristote revint en guilgoul en Antonin qui étudia chez RABBI YEHOUDAH HANASSI le compilateur de la MICHNA.
Rappelons cet élève du Becht qui vit un jour tomber une feuille d’un arbre, elle fut déplacée sur plusieurs centaines de mètres jusqu’à être coincée entre deux pierres ; sortit alors un vers de terre qui trouva sa nourriture ! Es ce le hasard ? là est le problème.
Notons que Maïmonide était bien en avance dans l’analyse de ce paradoxe. Maïmonide écrit : Tu pourrais dire : Si D’ savait si une personne serait juste c’est impossible qu’il ne le soit pas. Mais si tu dis que D’ savait qu’il serait juste mais qu’existe l’éventualité qu’il soit pervers, c’est donc que D’ ne savait pas exactement !
Maïmonide poursuit : Sache que la réponse à cette question est plus étendue que la terre et plus vaste que l’océan et plusieurs grands principes et " hautes montagnes " en dépendent.
Tu dois cependant savoir et comprendre dans ce que je dis que, la connaissance que D’ a des choses n’est pas séparée de lui-même, contrairement à l’homme chez qui, lui et sa connaissance font deux. Pour D’ béni soit son Nom, la connaissance fait partie intégrante de Son essence. L’esprit humain ne peut pas saisir à fond ce concept. L’homme ne peut atteindre cette connaissance : ‘’Car vos pensées ne sont pas Mes pensées, ni vos voies ne sont Mes voies, dit l’Eter-nel’’ Ishaya.
LA PHYSIQUE DES PARTICULES
] Tous les élèves du secondaire savent que la matière est faite de molécules. Les molécules sont des combinaisons d'atomes. Chaque atomes possède un noyau autour duquel gravitent les électrons. Chaque noyau est composé de neutrons et de protons. Les protons et neutrons sont eux mêmes formés de particules plus subtiles les QUARKS.
] LES FORCES DE LA NATURE: ELLES SON AU NOMBRE DE 4.
] La force de gravitation:
C'est elle qui maintient les planètes sur orbite autour du soleil ou qui définit l'attraction terrestre sur les objets qui l'entourent. Elle est dominante à l'échelle cosmique. C'est elle qui regroupe les étoiles en galaxies, conserve le soleil avec sa famille de planètes en orbite, fixe la lune à la terre et maintient les océans et l'atmosphère à leur juste place.
] La force électromagnétique:
C'est elle qui maintient les électrons à proximité du noyau. Ce que nous pouvons voir, sentir, goûter dépend de cette force. En somme les propriétés physiques et chimiques d'un corps dépendent de cette force.
] La force nucléaire forte:
Elle permet de maintenir ensembles les nucléons (protons et neutrons) à l'intérieur du noyau. Elle est aussi appelée force de couleur.
] La force nucléaire faible:
Si la force de couleur maintient l'unité du noyau, c'est la force nucléaire faible qui peut en provoquer la rupture. C'est la caractéristique des noyaux atomiques radioactifs, pour lesquels certains neutrons peuvent se transformer en protons ou inversement.
] Pendant de nombreuses années ces 4 forces semblaient être de nature totalement indépendantes. Des progrès ont été réalisés dans l'unification de toutes ces forces, à l'exception encore de la gravitation.
] On divise les particules en deux familles: les HADRONS et les LEPTONS.
Les hadrons sont des particules nucléaires c'est à dire qui sont dans le noyau. Il y a trois sortes de hadrons: Les Baryons - Les Mésons - les antibaryons.
1. Les Baryons (ou nucléons) comme le proton ou le neutron sont composés de quarks. Il y a six sortes de quarks (u,d,s,c,b,t). u (up) - d (down) - s (stange) - c (charm) - b (bottom) - t (top).
Un proton est formé de trois quarks (u,u,d) ; un neutron est formé des trois quarks (u,d,d)
Charge
-1/3
2/3
-1
0
I
Quark d
Quark u
Electron
Neutrino électronique
II
Quark s
Quark c
Muon
Neutrino
Muonique
III
Quark b
Quark t
Tau
Neutrino tauonique
Exemple: Un proton a une charge égale à +1.
En effet, il est composé de trois quarks (u.u.d)
u(2/3) + u(2/3) + d(-1/3) = 1 (charge du proton)
Un neutron a une charge nulle. Vérifions le.
Le neutron est composé de trois quarks u,d,d.
u(2/3) + d(-1/3) + d(-1/3) = 0 neutralité.
Les Mésons: Ils résultent de l'union d'un quark et d'un antiquark. L'antimatière d'une manière générale est composée d'antiparticules dont les propriétés électriques sont inversées par rapport aux particules conventionnelles.
Quand matière et antimatière se rencontrent elles s'annihilent et se transforment en énergie.
Un exemple : l'antiparticule de l'électron est le positron. C'est une particule de même masse que l'électron mais de charge opposée.
Les Leptons connus sont: Les électrons, les muons, les particules tau avec leur neutrino respectif associé.
Le spin d'une particule: On pourrait faire une comparaison avec le mouvement de rotation (précession) d'une toupie autour de son axe.
Le spin d'une particule est égal à 1/2 si elle se retrouve dans le même état après 1/2 tour.
Les hadrons et les leptons ont un spin égal à 1/2.
] Les bosons?
Les bosons transmettent les forces pour les quarks entre eux. Leur spin est égal à 0 ou 1 ( 1 tour complet pour se retrouver dans le même état).
Ainsi:
Le GRAVITON est l'agent de transmission de la force gravitationnelle (entre deux masses).
Le PHOTON est l'agent de transmission de la force électromagnétique ( entre le noyau et les électrons par exemple)
Le GLUON est l'agent de la force nucléaire forte (entre nucléons à l'intérieur du noyau)
W+ W- Z° les agents de transmission des forces nucléaires faibles.
A chaque interaction il correspond un type approprié de boson (médiateur). Les baryons (nucléons) s'échangent entre eux des bosons.
Les photons sont les médiateurs de L'ELECTROMAGNETISME. Les GLUONS sont les médiateurs de l'interaction FORTE qui relie les quarks entre eux à l'intérieur du noyau. W+ W- Z° sont les médiateurs de l'interaction nucléaire faible.
L'interaction qui lie les quarks par trois pour former les nucléons s'appelle: CHROMODYNAMIQUE QUANTIQUE (QCD).
L'interaction entre les particules chargées, comme les électrons et les noyaux s'appelle ELECTRODYNAMIQUE QUANTIQUE (QED)
C'est elle qui lie électrons et noyaux pour former des atomes.
INTERACTION
BOSON
GRAVITATIONNELLE
GRAVITON
ELECTROMAGNETIQUE
PHOTON
NUCLEAIRE FORTE
GLUON
NUCLEAIRE FAIBLE
W- W+ Z°
] Les physiciens essayent de construire aujourd'hui une théorie unitaire qui engloberait les 4 interactions connues. Les physiciens essayent de trouver la clé unique qui ouvrirait les 4 serrures.
A très haute énergie, ces 4 champs (forces) sont uniformisés. On essaye aujourd'hui d'unir ces 4 champs en un champ de HIGGS (dont le médiateur serait le boson de higgs qui n'a pas encore été trouvé).
LA MECANIQUE QUANTIQUE
Le début de ce siècle a vu l'éclosion de trois théories fondamentales en physique: La relativité restreinte en 1905, la relativité générale en 1915 et la mécanique quantique en 1926.
Si la relativité générale se préoccupe du macrocosme, la relativité restreinte et la mécanique quantique se réfère à l'infiniment petit (microcosme).
] Commençons par le principe d'incertitude d'Eisenberg
Il affirme qu'on ne peut pas connaître avec précision à la fois la position et la vitesse d'une particule.
Cela n'est pas dû à la limite de notre connaissance .
Si l'on ne peut pas connaître sa position et sa vitesse, c'est parce qu'une particule quantique n'étant pas ponctuelle, n'a pas à la fois une position et une vitesse définies (c'est un autre univers). Les objets quantiques admettent tout un spectre de valeurs pour la position et la vitesse.
Cette limite ne porte pas sur la précision des mesures; elle porte sur la validité des concepts classiques pour une particule quantique.
La " fonction d’onde " détermine la probabilité de présence en un lieu à un instant donné d'une particule.
] Le CHAT de SCHRÖDINGER: un chat est placé dans une boîte scellée. A l'intérieur de la boîte, se trouve un pistolet pointé vers le chat, on évalue par exemple les chances pour que le chat reste en vie à 50%. Si on ouvre la boîte on trouvera soit un chat vivant soit un chat mort. Mais avant d'ouvrir la boîte: L'état quantique du chat est un mélange de "chat mort" ou de "chat vivant". Comment est-ce possible-
à moitié vivant ou à moitié mort? Alors que le concept classique de la réalité veut qu'un objet possède une histoire unique et bien définie.
Dans la vision quantique, un objet ne présente pas une histoire unique mais toutes les histoires possibles.
Notons que Maïmonide était bien en avance dans l'analyse de ce paradoxe. Dans son livre sur les lois relatives à la techouva Maïmonide (RAMBAM) écrit: Tu pourrais dire que D' sait bien tout ce qui va être , mais avant que cela ne se produise, s'avait-il ou non si un tel serait un juste ou un pervers? Si D' savait qu'il serait juste, c'est impossible qu'il ne le soit pas; mais si tu dis que D' savait qu'il serait juste mais qu'existe l'éventualité qu'il soit pervers, c'est donc que D' ne savait pas exactement!
RAMBAM poursuit: Sache que la réponse à cette question est plus étendue que la terre et plus vaste que l'océan et plusieurs grands principes et "hautes montagnes" en dépendent. Tu dois cependant savoir et comprendre dans ce que je dis que, la connaissance que D' a des choses n'est pas séparée de LUI-MÊME, contrairement à l'homme chez qui, lui et sa connaissance en font deux. Pour D', béni soit Son nom, la connaissance fait partie intégrante de Son essence. L'esprit humain ne peut pas saisir à fond ce concept.
] LE VIDE
Même sans atome, l’espace contient toujours " quelque chose ". Le néant absolu n’est pas de ce monde. Le vide est plein d’énergie, de champs et de particules à " l’état virtuel ". Le vide joue un rôle clé en physique. Pour le théoricien, le monde physique peut s’expliquer par 4 forces fondamentales.
La force de gravitation.
La force électromagnétique.
La force nucléaire faible.
La force nucléaire forte
Dualité onde - particule : On ne peut pas voir un visage à la fois de face et de profil – De même en mécanique quantique, ondes et particules sont les deux " faces " sous lesquelles apparaissent les objets quantiques. Ainsi la lumière visible peut se manifester sous l’aspect d’une onde ou celle d’une particule : le photon. De même un électron matériel peut adopter le comportement d’une onde. Si un objet quantique était un cylindre on pourrait le voir par exemple, soit comme un cercle soit comme un rectangle selon l’angle de vision.
En mécanique classique on distingue deux types d’objets : Les particules d’une part et les ondes d’autre part ; La mécanique classique n’admet qu’une seule catégorie d’objet ayant tantôt un comportement " corpusculaire " tantôt " ondulatoire ".
" fonction d’onde " qui détermine la probabilité de leur présence en un lieu à un instant donné.
Le vide absolu n’existe pas dans notre monde. Voilà un résultat de la physique quantique. Le vide est plein d’énergie et de particules à l’état " virtuel ". C’est un vide " plein " , un faux vide ; Le vide peut être perçu comme une " mer " de particules virtuelles porteuses de toutes les interactions entre particules.
Ce serait par la fluctuation de ce vide non vide qui aurait dicté à l’univers son espace-temps propre, ses lois, sa physique et la façon dont s’est brisée l’unité originelle pour engendrer les 4 forces et les particules que nous connaissons. Au départ, les quatre interactions étaient unifiées et la symétrie parfaite. L’univers a dû se refroidir et les symétries se " briser " pour qu’apparaissent les 4 interactions (forces) connues.
La théorie actuelle explique que la gravitation due à la concentration de la matière et qui tend à courber l’espace-temps, s’oppose à l’expansion. L’élément décisif est la densité de l’univers . Si elle est élevée, alors l’espace- temps se courbe , la gravitation l’emporte et l’univers se contracte ; inversement, si l’univers est très peu dense alors cet univers est en expansion.
Il n’existe aujourd’hui, aucune théorie capable de marier les effets quantiques et gravitationnels. La relativité générale, qui décrit la gravitation et l’univers à grande échelle, et la physique quantique qui règne dans le monde microscopique, semblent totalement incompatibles. Et pourtant l’univers est issu de ce faux vide quantique avant d’être régi par la mécanique générale.
Le vide est l’état latent de la réalité et la matière son état manifeste.
Il y eut " brisure " du vide dans la lumière (photons) et de la lumière à la matière : Vide- Lumière- Matière.
Auparavant, les physiciens pensaient que le monde était divisé en matière et énergie ; la matière résidait dans les particules et l’énergie dans les champs, qui en interaction avec ces particules provoquent le mouvement. Selon la théorie quantique, l’intensité d’un champ en un point est interprétée comme une probabilité statistique d’y découvrir les " quantons " associés : les particules ; c’est à dire la matière.
Le physicien danois, comme ils disent, David Niels Bohr expliquait que la " matière " est liée au " champ " comme " l’écume " est liée à la " mer " . L’écume est la limite de la mer, comme la matière l’extrémité du champ.
La physique quantique échappe au sens commun. Qui veut y pénétrer doit abandonner toute logique et toute intuition familière.
Car les particules n’ont pas de trajectoire, se trouvent simultanément en plusieurs endroits différents.
Et pourtant la physique classique découle de l’univers quantique. Dans les dernières années certaines expériences essayent d’expliquer le passage du quantique au classique, c’est la Décohérence :
La physique quantique ne connaît ni onde ni particule, mais une seule catégorie " d’objets " qui possèdent certaines propriétés des ondes et d’autres des particules. Ces objets quantiques sont impossibles à imaginer visuellement. Une bonne partie de ces bizarreries quantiques trouve son originalité dans le " principe de superposition ". Les d’un atome ou de tout autre système quantique constitue ce que l’on appelle son " état ". Quand un système a plusieurs états possibles, la somme de ces états est également un état possible. C’est grâce à ce principe essentiel qu’une particule peut occuper plusieurs positions possibles à la fois. Tant qu’on reste dans le domaine quantique, tout va bien.
La difficulté commence lorsqu’on passe dans l’autre monde, c’est à dire le nôtre, le monde macroscopique. Car la superposition des états est impensable dans notre univers classique. Nul n’a jamais vu un objet simultanément dans deux endroits différents. Dès que l’on voudra mesurer l’énergie d’un atome, on ne détectera jamais cette superposition, mais seulement l’une des énergies qui la constituent.
L’action de mesurer fait disparaître la superposition des états, au profit d’un seul. Cette réduction des paquets d’ondes est due à l’interaction du système quantique avec son environnement (ici l’appareil de mesure). Les multiples interactions avec l’environnement entraînent une destruction très rapide des interférences quantiques du système. En détruisant les interférences, l’environnement expérimental supprime les " superpositions d’états " et le comportement quantique du système, de sorte qu’il ne reste plus que des états simples et qu’on retrouve alors le comportement classique de la particule. Ce phénomène a été nommé " décohérence " car c’est la destruction de la cohérence des états quantiques qui élimine les interférences.
Une comparaison : Des vagues sur la mer. La présence d’un très long bateau (plusieurs km) détruit le système des vagues (interférence des ondes) – par comparaison la présence de l’appareillage d’observation ne permet pas de voir le phénomène quantique en évolution mais seulement son résultat. Pour que l’on puisse analyser ces vagues, il faudrait réduire l’appareillage à une caméra fixé un bouchon de liège et
qui subirait elle même les flux et reflux des vagues ainsi que leurs interférences.
Le vide sera pour nous le trait- d’union entre la physique et la métaphysique.
THEORIE DE LA RELATIVITé
] La théorie de la relativité, découverte par EINSTEIN, fut développée en deux étapes: La relativité restreinte en 1905 et la relativité générale en 1916.
Avant cette théorie, on considérait le temps comme un facteur absolu. De plus on pensait que le temps et l'espace n'avaient pas de liens.
] Principes de la relativité restreinte:
Dans un système Galiléen la description d'un phénomène est indépendant du système de référence utilisé.
Exemple: Un train se déplace à vitesse constante sur une ligne droite; par rapport à la station de gare (repère fixe) ou par rapport au train (repère mobile) les lois de la physique restent les mêmes. Impossible donc de discerner lequel des deux repères est "vraiment en mouvement et lequel est au repos".
La vitesse de la lumière est constante dans n'importe quel repère Galiléen. (Qu'est ce qu'un repère galiléen? C'est un repère qui se déplace par rapport à un repère fixe à vitesse constante). Elle n'est pas régie par la loi de composition des vitesses (qui s'ajoutent par exemple ou se soustraient).
Les mesures de temps et de distance dépendent des mouvements relatifs animant l'observateur et l'objet observé. La vitesse da la lumière " c " restant, elle, invariante. De même la mesure d'un intervalle de temps est une mesure relative au système de référence dans lequel a lieu la mesure.
] Le passager de LANGEVAIN:
Suivant la théorie de la relativité, en considérant deux horloges A et B synchrones en un lieu; Si B reste en ce lieu, alors que A se déplace avec une vitesse constante le long d'une courbe fermée qui la ramène finalement en B, alors Einstein montre par le calcul et par le raisonnement que l'horloge A retarde sur l'horloge B.
Ce paradoxe va être vérifié. En 1971 deux physiciens américains embarquèrent une horloge atomique sur un avion qui fit deux fois le tour de la terre d'abord vers l'Ouest, puis vers l'Est (compte tenu de la rotation de la terre et du champ de gravitation terrestre, ils calculèrent alors les décalages imputables au "paradoxe" et les comparèrent à ceux observés entre l'horloge voyageur et celle de référence sur la terre: l'accord était complet.
Résumons nous: La relativité d'Einstein est fondée sur deux postulats: Les lois de la physique sont identiques dans tous les systèmes de référence en mouvement.
La vitesse de la lumière est identique dans tous les référentiels. En 1905 Einstein le prouve pour des repères galiléens (en mouvement uniforme) d'où son nom de relativité RESTREINTE et en 1915 l'étend à tous les référentiels et cela devient la relativité GENERALE.
Utiliser la relativité (restreinte ou générale) signifie rechercher des lois qui restent identiques dans tous les référentiels.
La physique classique de Newton considère qu'il existe un espace et un temps absolus obéissant à la géométrie d'Euclide (espace plan). Cadre statique à l'intérieur duquel se déroulent les phénomènes physiques.
La relativité restreinte efface la distinction entre espace et temps. Comment la matière modifie l'espace-temps?
Comment les masses se déplacent dans cet espace-temps? Ce sont ses amis mathématiciens Minkowski et Marcel Grossman qui vont l'aider dans l'utilisation de l'outil mathématique.
] On change alors de géométrie: on utilisera celle de Riemann.
La géométrie de Riemann a pour support une sphère alors que celle d'Euclide est plane. La droite dans le repère d'Euclide devient sur la sphère une "géodésique"
qui sont les arcs d'un grand cercle.
Grossman l'aide à utiliser cette géométrie à appliquer à son espace-temps et plus encore à appliquer le puissant outillage mathématique du calcul tensoriel développé par l'école italienne de Levi-Civita.
Einstein et Grossman créent alors leur espace-temps une surface à 4 dimensions (trois d'espace et une de temps). La géométrie de cette espace dépend de la présence de matière.
La présence de matière déforme l'espace-temps en le courbant. Il synthétise et simplifie sa recherche par une égalité simple: Courbure = Matière
Toute masse courbe l'espace autour d'elle. Les objets se déplacent dans cet espace courbe, et "tombent" les uns vers les autres. Comme un ballon déforme un coussin sur lequel il est posé, la matière courbe l'espace-temps.
Les objets les moins denses qui s'y déplacent "tombent" alors vers les objets les plus massifs, "comme s'ils" étaient attirés vers eux. Ils suivent en réalité la déformation de l'espace.
L'espace n'existe pas de façon absolue; chaque corps le modifie et grée de ce fait sa propre géométrie. L'espace est la somme de toutes ces géométries.
Et alors qu'est que E = mc2 ?
C'est l'énergie interne que possède un corps du fait qu'il est fait de matière. Et alors? Cette masse peut se transformer et libérer une énergie énorme. Inversement une énergie peut se matérialiser en masse d'un corps.
La théorie de la relativité d'Einstein a été vérifiée par différentes expériences et analyses de phénomènes.
Nous en citerons quelques uns:
Le décalage gravitationnel vers le rouge:
Les rayons lumineux qui s'échappent d'une étoile par exemple voient leur longueur d'onde augmenter alors que ceux qui s'en rapprochent la voient diminuer. La gravitation fait "rougir" la lumière. Ce décalage est en réalité dû au ralentissement du temps dans un champs de gravitation (comme pour l'exemple des horloges atomiques). Il est donc indispensable de tenir compte du ralentissement gravitationnel.
Le Périhélie de mercure: Les planètes (dont mercure) décrivent des trajectoires elliptiques (forme d'œuf) dont le soleil est l'un des foyers (centre).
La présence des autres planètes perturbe cette ellipse qui ne se referme plus exactement : Le point le plus proche de l'astre (mercure ici) au soleil (appelé périhélie) se décale de la sorte à chaque orbite. Le décalage observé était conforme à sa théorie de l'espace-temps.
La déviation des rayons lumineux près du soleil:
La présence d'une masse déforme la géométrie à son voisinage, les rayons lumineux répondent à cette déformation en se courbant d'autant plus qu'ils passent à proximité de cette masse. La théorie de l'espace-temps était encore en accord complet avec les résultats de l'expérience. La lumière est faite de grains de matière appelés photons; le photon qui entre dans un champ gravitationnel important comme celui du soleil subit son attraction et de ce fait le photon (lumière) voit sa trajectoire déviée.
] Ainsi TEMPS -ESPACE - MATIERE sont intimement liés. Sans matière il n'y a plus de temps et plus d'espace.
] CONSTANTE COMOLOGIQUE:
Dès 1917 Einstein eut l'intuition, du fait que le monde est en expansion, qu'il existe une énergie capable de compenser et de vaincre la gravitation et qui fait que les étoiles s'éloignent l'une de l'autre.
Ainsi, si la densité de matière de l'univers est supérieure à une certaine densité critique la gravitation reprend le pas sur l'expansion alors l'univers se contracte et s'effondre sur lui-même; il se produit alors le "BIG CRUNCH" phénomène inverse du "BIG BANG".
Si sa densité est à peu près égale à la densité critique l'expansion ralentit indéfiniment sans jamais s'arrêter.
Si la densité de matière de l'univers est plus petite que la densité critique alors l'univers continue son expansion à l'infini.
L'évolution de l'univers dépend non seulement de la densité de matière qu'il renferme mais aussi de la densité d'énergie du vide (constante cosmologique).
Cela voudrait dire que la matière ne représente que 30% du contenu de l'univers et que le reste 70% existe sous forme d'énergie invisible qui tend à dilater l'univers.
Ainsi le vide n'est pas vide.
LA LUMIERE
UNE ONDE OU UNE PARTICULE?
Sur un mur: Deux grands trous par lesquels passent des balles de tennis qui laissent la marque de leur impact sur un second mur qui joue le rôle de réceptacle.
Le nombre d'impacts est maximum sur la partie de l'écran située à égale distance des deux trous et diminue lorsqu'on s'éloigne de ce point.
Le nombre d'impact peut être décrit statistiquement
A l'aide d'une courbe en forme de cloche.
Refaisons la même expérience avec des électrons: Un flux d'électrons est envoyé vers deux trous (fentes). Ces électrons sont recueillis derrière sur un écran. Après un grand nombre d'impact, la figure obtenue est très différente de celle obtenue avec les balles de tennis.
On obtient une suite de franges d'interférences;
Pourtant les électrons sont des "grains" de matière devrait reproduire la figure en forme de cloche obtenue par le tennisman.
Ces franges dites d'interférence ne peuvent être dues qu'à une onde.
On pourrait diminuer le flux des électrons et faire qu'ils ne s'échappent que les uns après les autres et non en même temps.
Les électrons s'incrustent bien dans l'écran, mais après un grand nombre d'impact on obtient l'image d'une figure d'interférence. Comment nier le comportement ondulatoire de l'électron?
Pour lever cette dualité entre onde et particule on parle de "quanton".
Pour comprendre la figure d'interférence , il faut admettre que le quanton bien que détectable par son impact sur l'écran, passe par deux trous, comme le fait une onde étalée dans l'espace. L'onde est localisée de ce fait en différents endroits de l'espace c'est à dire délocalisée.
On rejoint alors la conception de la mécanique quantique. On dit qu'ils occupent une superposition de deux états quantiques de localisation. Lorsqu'un quanton se trouve dans une superposition d'états quantiques il est en fait dans son "état naturel" dans son "monde quantique".
Lorsque nous effectuons une mesure nous l'obligeons de se "décider". Nous le "projetons" dans un unique état . Cet état est propre à la mesure et accessible à notre sensibilité instrumentale.
@ Dualité onde - particule:
Le quanton n'est ni une onde ni une particule.
Il est défini par sa longueur d'onde l ; le quanton est aussi défini comme une particule (corpuscule) de quantité de mouvement p = m.v
Ces deux aspects onde - particule sont reliés par la relation de Louis de Broglie p = h / l
De par sa nature quantique , on ne peut mesurer simultanément la vitesse et la position d'une particule et un flou subsiste sur leurs mesures simultanées.
La théorie électromagnétique de Maxwell rend compte de la propagation des ondes, des expériences d'interférences et de diffraction.
La lumière peut être considérée comme une onde électromagnétique de fréquence n et de longueur d'onde l = c / n
A une onde électromagnétique en général et lumineuse en particulier sont associées des vibrations transversale et longitudinale (champ électrique - champ électromagnétique perpendiculaires à la direction de propagation de l'onde électromagnétique ).
La lumière est une infime partie d'un vaste ensemble constituant les ondes électromagnétiques.
Rayon g - Rayon X - U.Violet - VISIBLE - I Rouge - Micro onde - Radio TV - Téléphone
L'effet corpusculaire de la lumière est mis en évidence par l'effet photoélectrique:
Sur une plaque de césium on envoie un faisceau de lumière. L'énergie du faisceau lumineux permet d'expulser des électrons du métal de césium.
La lumière contient donc des grains de matières - les PHOTONS - qui viennent frapper sur le métal pour en extraire les électrons. Cette expérience met en évidence l'effet photoélectrique. (les photons de la lumière expulsent les électrons de la matière).
Il faut donc admettre ces deux aspects ondulatoire et corpusculaire ; ce sont deux facettes complémentaires d'une même réalité physique.
Et si nous passions à la lumière décrite dans Bérechit: Les luminaires (soleil et lune) ont été créés le 4° jour de la création. Alors comment expliquer cette lumière du premier jour.?
Cette lumière s'est "habillée" s'est matérialisée dans le soleil et la lune.
La lumière du premier jour de la création est différente de celle que dispensera au 4° jour le soleil. Le rapport entre ces deux lumières pourrait être comparer à la matérialisation de l'énergie en matière.
La lumière originelle est purement spirituelle.
Rabbi Elazar : "Cette lumière créée le premier jour permettait de scruter d'un bout à l'autre du monde.
Adam Harichone avait pu voir toutes les générations: Lorsqu'il arriva à David , il vit qu'il ne pouvait pas vivre et lui donna 70 ans de sa vie. De ce fait Adam termina sa vie à 930 ans , au lieu de 1000 ans et David vécut 70 ans.
Rabbi Elazar disait: Dans la génération du déluge et de la génération de la dispersion (palaga) D' a vu que leurs actions étant corrompus Il a retiré cette lumière pour la mettre en réserve pour les tsadikim dans les temps avenir.
ETINCELLES
La vitesse de la lumière 300.000 KM/S
LES FORCES DE LA NATURE: ELLES SONT AU NOMBRE DE 4
La force de gravitation:
C'est elle qui maintient les planètes sur orbite autour du soleil
La force électromagnétique:
C'est elle qui maintient les électrons à proximité du noyau. Ce que nous pouvons voir, sentir, goûter dépend de cette force. En somme les propriétés physiques et chimiques d'un corps dépendent de cette force.
La force nucléaire forte:
Elle permet de maintenir ensembles les nucléons (protons et neutrons) à l'intérieur du noyau. Elle est aussi appelée force de couleur.
La force nucléaire faible:
Si la force de couleur maintient l'unité du noyau, c'est la force nucléaire faible qui peut en provoquer la rupture. C'est la caractéristique des noyaux atomiques radioactifs.
Les physiciens essayent de construire aujourd'hui un modèle unitaire qui engloberait les 4 interactions connues. Les physiciens essayent de trouver la clé unique qui ouvrirait les 4 serrures.
A très haute énergie, ces 4 champs (forces) sont uniformisés. On essaye aujourd'hui de montrer que ces 4 champs découlent d'un champ unique le champ de HIGGS.
Suivant le modèle du big bang , l'univers st né d'une grande explosion d'énergie , suivi d'une expansion. Il s'est refroidi petit à petit , et les forces se sont détachées une à une de l'unique interaction primordiale.
SANS LIEN DIRECT:
De même en biologie l'étude du génome fait dépendre la génétique de l'ADN qui est une macromolécule constituée de nucléotides; qui se distinguent par des séquences de 4 codes: A (adénine) - G (guanine) - T (thymine) - C (cytosine)
L'ordre des bases sur la chaîne linéaire de nucléotides formant un acide nucléique constitue sa séquence nucléotide.
SANS LIEN DIRECT: Suivant le ARIZAL les quatre éléments (ECH-FEU; -ROUAH-AIR; - MAÏM-EAU; - AFAR-TERRE ) avec à leur source le HIYOULI sont associés aux 4 lettres qui composent le Tétragramme, avec au sommet le KOTSO (la pointe) du YOD
Quatre éléments de la nature: L'inerte (la pierre)- (le végétal)- (l'animal) - l'humain)
4 lettres associées aux quatre Mondes: EMANATION - ATSILOUT;
CREATION - BRIAH; FORMATION - YETSIRAH; FABRICATION- ASSIAH
avec à leur source ADAM HAKADMON .
4 Mondes associés aux quatre niveaux d'âmes de l'homme NEFECH-ROUAH-NECHAMA-HAYA avec à leur source la YEHIDA.
4 lettres liées aux 4 lettres du tétragramme.
Dans notre essai nous avons voulu montrer que 4 interactions - 4 codes en biologie - ce chiffre 4 lié aux 4 éléments qui sont liés à l'astrologie juive celle d'Abraham il s'entend - 4 mondes d'où sont issues les âmes qui présentent 4 niveaux …
4 Niveaux d'étude: Pshat-Remez-Droush-Sod
Comme il y a 4 dimensions: x-y-z,t.
Une dimension peut être considérée comme une projection d'un espace à deux dimensions.
Un crayon qui subit une rotation dans un plan vertical voit sa projection sur l'axe des x d'allonger et se rétrécir. Comment un individu qui vit sur une dimension peut il s'imaginer ce qui se passe à deux dimensions.
De même un plan (deux dimensions) est la projection d'un espace à trois dimensions.
Idem: Un espace à 3 dimensions est la projection d'un espace à quatre dimensions.
Le Arizal au niveau du Sod n'a pu mettre sur papier son enseignement car il y avait tellement de paramètres que son texte aurait été une vision tronquée de la réalité.
Nom HACHEM YOD KE VAV KE
Monde ATSILOUT BRIAH YETSIRAH ASSIAH
SPHIROT HOKHMA BINAH TIFERET MALHOUT
YESSODOT ECH ROUAH MAYIM AFAR
NIVEAU D'AME HAYA-YEHIDA NECHAMA ROUAH NEFECH
Le OR (lumière) du Ein Sof de l'Infini ne peut se dévoiler qu'après des contractions pour être réceptive par les mondes et les êtres créés.
Il y a 4 mondes. De haut en bas. Atsilout -Briah -Yetsira- Assiah.
Pour allégorie: Si Atsilout est ENERGIE- alors Briah est GAZ - Yetsirah est LIQUIDE et ASSIAH encore plus contracté est Solide.
Dans chaque monde ce OR (lumière) du Ein Sof se contracte de plus en plus.
Les kabalistes ont évalué que si Atsilout a pour coefficient 1 - la contraction est notée 10 pour Briah- et pour Yetsira par 100.
Dans chaque monde l'énergie est divisée en SFIROT.
Il y en a 10 dans chaque monde.
Hokhma- Binah- Daat- Hessed-Gueboura-Tiferet-Netsah-Hod-Yessod et Makhout.
Quel lien entre Lumière Ein Sof et Sfirot? C'est comme le rappoert entre l'âme et le corps.
Pour esquisser « un modèle » de compréhension nous ferons une analogie : En mathématique, l’infini est un nombre très grand qui ne peut être dépassé ; Dans l’Univers de la Kabale l’Infini est comparable à un nombre pour lequel tous les autres nombres sont comme « nuls » même le nombre qui précède cet infini est considéré comme nul ; c’est l’inconcevable.
Mais si nous fixons une valeur très grande pour l’infini (cent milliards de milliards) on détermine alors un système « auto limité » : c’est le système des Sfirotes.
La Volonté de D’ peut apparaître sous deux aspects : Sa Volonté qui est sans limite et mesure, ce que la kabale appelle le Eïn-Sof et sa Volonté auto-limitée traduite par les Sfirotes.
Une seule Lumière irradie à travers les 4 Univers Atsilout (Emanation)- Briya (Création)- Yetsira (Formation)- Assiya (Fabrication) jusqu’à atteindre les éléments physiques.
Rav Haïm Vital: "Sache qu'au début toute la réalité n'était qu'une lumière simple , unique, qui s'appelait Infini. Il n'y avait pas d'espace ni d'air vide; car tout était lumière infinie.
Chaque monde est dirigé selon les mouvements du monde qui est au dessus de lui et qui le dirige comme une âme dirige un corps. Le Prophète ISHAÏA en fait directement allusion :
« Tout ce qui se réclament de Mon NOM, pour ma Gloire (ATSILOUT) Je les ai créés (BRIYA), Je les ai formés (YETSIRA) et Je les ai faits (ASSIYA) » ISHAYA 43.7
Prenons par exemple le monde Atsilout
Toute l'énergie reçue par Hokhma première Sfira est transmise aux suivantes jusqu'à .........la Sfira Malkhout de ce monde de ATSILOUT.
Cette même Sfira Malkhout de Atsilout va transmettre au monde d'en dessous monde de BRIAH.
Et la transmission va continuer de la Sfira Hokhma du monde de BRIAH jusqu'à .....la Sfira Malkhout de BRIAH.
Ensuite on descend dans le monde de YETSIRA . La Malkhout du monde précédent joue le rôle de courroie de transmission.
Du monde de Yetsira, une dernière contraction et par l'intermédiaire de la Sfira Malkhout de YETSIRA ...
.on passe dans notre monde de Assiah qui contient lui aussi les 10 Sfirot
Les 9 Sfirot qui précèdent celle de Malkhout dans chaque monde représentent les mois de grossesse qui vont engendrer la Malkhout qui devenant trop matérialisée pour y rester. Alors s'effectue le passage au monde qui suit. Jusqu'à la Malkhout de Assiah.
L'histoire est la résultante du projet divin symbolisé par les neuf premières sefirot à travers la dernière sefira la MALKHOUT.
Les cabalistes expliquent que cette génération voulait séparer la sphira malkhout qui représente la présence de D sur terre des autres sphirot. Afin de diriger l’histoire du monde à leur guise.
c’est ce que font les bolshevik depuis 50 ans. Laïcité – démocratie -socialisme….mais surtout pas D.
Tu comprends maintenant qu’ils n’ont aucune chance de réussir. Le système est voué à l'impasse ou au changement drastique..
En réalité chaque Sfira comme Hokhma par exemple contient les en elle les autres mais y est prépondérante.
Métaphore: Un corps chargé d'électricité positive contient des charges neutres d'autres négatives mais le bilan "charge positive" est prépondérante.
Les Maîtres du Sod expliquent que dans chaque monde chaque Sfira se divise en dix et chacune des dix en dix.
Comme une mère qui a dix enfants et chaque enfant 10 enfants , elle sera grand mère de cent petits enfants.
Dans chaque monde il y a donc 10 Sfirot chacune divisible en 100 soit en tout divisibles en 1000.
Il y a 3 contractions ATSILOUT=>>BRIAH=>>YETSIRAH=>>ASSIAH.
Ce qui fait 3000 contractions ; le facteur multiplicatif pour passer au monde se ASSIAH étant de 100 cela fait: 100x3000= 300.000 contractions c'est à dire la vitesse de la lumière.
Ce n'est pas une grande énergie puisqu'elle a été compressée.
300.000 km/s est l'asymptote par valeur inférieure de la vitesse dans notre monde.
Si on dépassait cette vitesse La matière retournerait dans des mondes où la lumière n'a pas été réduite par le facteur 300.000 et ne pourrait exister sous la forme que nous connaissons.
La matière elle même témoigne de la présence de
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