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ALAN GREENSPAN


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"Nos modèles économiques n'ont jamais été vraiment assez bons pour appréhender un processus guidé en grande partie par un comportement irrationnel."

"Notre économie change jour après jour et, en ce sens, elle est toujours 'nouvelle'."

"La technologie de l’information a changé la façon dont les gens créent de la valeur économique." - Extrait du magazine Futur(e)s - Juin 2001

"Si vous avez compris tout ce que je viens de vous dire, c'est que j'ai dû faire une erreur quelque part."



Prudent chef de la banque fédérale américaine, Alan Greenspan sait ce qu'est une récession : son père est agent de change ; enfant, il a connu la grande dépression à New York et a gravi tous les échelons du gouvernement pour arriver à son poste actuel. Etudiant à l'université de New York puis à Columbia University, il obtient son doctorat d'économie en 1977. Il fonde ensuite avec un associé la New York's Townsend- Greenspan & Co. Inc, cabinet de conseil économique, qui prospère jusqu'en 1987, date à laquelle il rejoint la fameuse FED, la Banque Fédérale. Déjà conseiller des présidents Nixon et Ford, Greenspan se révèle un excellent gestionnaire de la FED dès sa nomination par Ronald Reagan. Et pour preuve, il connaît sous son mandat 4 présidents différents. En tant que président de la Banque Fédérale, Greenspan contrôle la politique monétaire américaine en influençant les taux d'intérêts à court terme et ainsi le coût du crédit pour les entreprises et les consommateurs américains.evene


Alan Greenspan est un homme intéressant. Non seulement parce qu’il a connu et résisté à 4 présidents, mais parce qu’il a connu l’itinéraire exemplaire du self-made man américain. Petit juif pauvre des quartiers excentrés du nord de New York, il est devenu l’un des « maîtres du monde », selon la terminologie consacrée. Mais si Alan Greenspan est parvenu au sommet, il le doit à lui-même et à la méritocratie pragmatique américaine – pas à un lobby « ethnique ». Les Goldsmith venaient de Hongrie, les Greenspan de Roumanie, tous arrivés au début du 20ème siècle. Enfant unique né en 1926, ses parents ont divorcé peu après et il a peu connu son père, qu’il allait cependant voir chaque mois dès qu’il eût l’âge. Il travaillait à Wall Street comme agent de change et il a écrit un livre en 1935 dont il a fait cadeau à son gamin de 9 ans : « La croissance revient ! ».agoravox

Maître incontesté de la FED depuis 1987, Alan Greenspan est sûrement l'homme dont les discours ont le plus d'impact dans le monde. Si Alan Greenspan éternue, les marchés s'enrhument.

La FED ou Federal Reserve Board est l'organe chargé de la politique des taux d'intérêt aux Etats-Unis. Un taux d'intérêt directeur faible et c'est toute l'économie qui peut profiter d'un crédit "peu cher".

Né le 6 mars 1926, Alan Greenspan a été élevé dans une culture financière forte. Son père, agent de change, a eu à subir la crise de 1929. Alan Greenspan a suivi cela au quotidien dès son plus jeune âge.

New Yorkais dans l'âme, il a partagé l'essentiel de ses études entre la New York University et la Columbia University. En 1977, il obtient son doctorat en Economie.

Sa carrière professionnelle débute réellement en 1954. A l'époque, il fonde la Townsend-Greenspan & Co., Inc. Cette société de consulting en économie permet à Alan Greenspan de se faire connaitre auprès de la communauté financière. Il multiplie ainsi les postes auprès des grands de ce monde tel que le président Ford de 1974 à 1977.

1987 marque un tournant dans la vie d'Alan Greenspan... et du monde. A l'age de 61 ans, Alan Greenspan devient président de la toute puissante FED.

Depuis cette date, tous les 4 ans, Alan Greenspan est réélu, sans véritable concurrent. Sa politique de taux d'intérêts faibles est un grand succès. Il a connu depuis sa première élection 4 présidents : Reagan, Bush Père, Clinton, and Bush Fils.

Reconnu dans le monde entier pour sa gestion, il a notamment reçu la Légion d'Honneur en France. edubourse


Mieux que quiconque, Alan Greenspan a su en effet dialoguer avec les milieux financiers, leur imposant son jargon inimitable. «J'ai appris à apprécier l'élégance théorique des marchés concurrentiels», écrit-il aujourd'hui. Ce n'est pas de la poésie, mais les banquiers le comprennent au quart de tour. En particulier ce fameux jour de décembre 1996, quand il dénonçait l' «exubérance irrationnelle des marchés». Son sens de la formule fait mouche, même dans sa vie privée. En 1997, alors qu'il se promène en voyage de noces à Venise, il susurre à l'oreille de sa nouvelle épouse: «Quelle est la valeur ajoutée créée dans cette ville?» Vous avez dit romantique? eric chol

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